Priez en cachette sur la Bonne prière.
La vie a deux cotés : l’un est celui de l’acteur, l’autre – c’est la vie de l’ouvrier. L’acteur travaille pendant la nuit, l’ouvrier – pendant la journée. Par conséquent, les résultats ne peuvent pas être les mêmes, puisque la Vie se développe dans de conditions différentes. Le soir, l’acteur manque de lumière, tandis que l’ouvrier qui travaille le jour a les conditions de mener une vie raisonnable.
Ainsi, je vous divise en deux classes – acteurs et ouvriers. Dans cette Ecole nous n’avons pas besoin d’acteurs. La Fraternité Blanche exclut la vie de l’acteur, et reçoit les ouvriers. Vous les mariés, je conçois être des ouvriers sur le champ de Dieu, or certains d’entre vous veulent jouer le rôle d’acteurs. Vous ne savez pas encore ce que représente le Jugement de Dieu. Dans cette Ecole, on conçoit la loi de l’ouvrier être aussi sévère que l’est la loi de l’acteur. En tant qu’ouvriers, je vous poserai la question avez-vous rempli les obligations de votre travail. Je demande de vous les mariés, d’ inspecter votre travail, vos champs, vos jardins, vos sources, vos bêtes, vos brebis, de revoir vos maisons sont-elles bien peintes, sont-elles bien nettoyées? Quelle est la situation de ces collaborateurs ? Puisque vous êtes des ouvriers, vous devez le savoir. Beaucoup d’entre vous, les mariés, demandent plus de privilèges que de responsabilités. Vous voulez remettre le terme de vos dettes, mais dans le livre de Dieu on ne l’admet pas. Cela peut arriver seulement par Grâce. Il faut patienter et attendre un Etre plus puissant pour vous aider. Ne croyez pas qu’il vous sera donné gratuitement.
Vous êtes mariés et comme tels vous donnerez de la morale aux jeunes. Rappelez-vous que quand vous aurez quitté ces champs, à votre place viendront les jeunes. Que vont-ils y trouver ? Je parle dans le sens direct et dans le sens figuré. Ce sont des raisonnements que vous devez examinez. Je suis obligé de vous partager ces idées ce soir – ça vient de l’initiative de la Fraternité Blanche. Les frères Blancs vous tiennent responsables de vos champs, de vos brebis, de vos maisons, etc. Vous, qui avez des soupçons (il y en a de tels parmi vous), vous pouvez pour un an vérifier sommes-nous de la Fraternité Blanche ou pas. Le Christ est la tête de la Fraternité Blanche. Il en a pris la décision, il a demandé la Tête et elle l’a approuvée – et cette Tête est Dieu. Et la question est résolue par sa forme, son contenu et son sens – dans toutes les sphères. Donc, on demande de vous les mariés d’accomplir volontairement la loi de Dieu.
Ca ne vaut pas la peine de vous dire comment travailler, mais vous allez travailler comme bon vous semble, dirigés par votre âme. Lorsque l’âme désire quelque chose, elle forme dans sa conscience ce qui doit se passer. Cette conscience contient trois grandes Puissances – l’esprit, le coeur et la volonté. Lorsqu’ on va dans l’autre monde, cela comprend toujours un changement de notre conscience d’une forme à une autre – c’est l’élargissement de la conscience. Dans une autre sphère vos réflexions seront différentes. Donc, Christ descend dans nos âmes que lorsque la conscience s’élargit. Par exemple, lorsque je parle aux mariés, vous dites : « Le Maître m’a dit ceci et cela, il parle de moi. » Si vous parlez ainsi, vous n’avez pas compris mes paroles. Quand je vous parle, je prends en vue l’élargissement de votre conscience, pour que Christ puisse descendre et vous expliquer. Je tiens à vous expliquer le coté extérieur, je tiens comme ouvrier à nettoyer et puis c’est le Christ qui descendra. Je tiens à ce que votre conscience s’élargisse, pour que le Christ puisse descendre et vous expliquer ce, dont nulle raison humaine ou pensée ne peut vous expliquer.
Je demande : vous, les mariés, quel est l’exemple que vous donnez aux jeunes, à vos enfants par rapport à votre conscience ? Votre conscience sert-elle pour élargir la conscience des jeunes, pour que le Christ vienne auprès d’eux et leur explique la Vie et comment faut-il vivre. Vous allez répliquer : « Dieu peut tout faire ! » Cela ne veut rien dire, ce n’est pas de la philosophie. Le sang du père est fort, quand il entre dans les veines du fils et se met à circuler par les mêmes lois. S’il ne circule pas, les résultats seront différents.
A présent, la plupart d’entre vous visitent la Fraternité Blanche que pour régler leurs problèmes. Vous venez comme à un théâtre, pour manger, puis vous sortez et vous dites : « Vous n’êtes pas tels qu’on croit. » Vous n’avez pas encore compris qui sommes-nous – ils passeront encore mille ans, pour que vous puissiez le comprendre. Nous sommes ceux, qui font élargir la conscience de chacun, pour que le Christ puisse descendre et expliquer la Vérité de la Vie. Et cette Vérité doit aider la conscience Divine de descendre et de présenter la loi de l’ Amour Divin dans l’Univers. Qu’il y a-t-il de plus merveilleux ! Nous pouvons travailler en ayant cette Vérité. Or, vous dites : « Que Dieu nous fait grâce! » Comment va-t-il vous faire grâce, quand vous manquez d’une haute conscience, pour que le Christ puisse descendre et pardonner votre faute. Les fautes et les tentations sont inévitables de tous cotés et si le Christ n’entre pas dans votre conscience, ces fautes vont créer une disharmonie dans la vie, et vous allez tous en souffrir. Il y a-t-il quelqu’ un qui ne souffre pas ?
Je traduis souvent cet exemple de la Fraternité Noire et la Fraternité Blanche. La fraternité Noire a des adeptes noirs, qui descendent et disent: « Je suis cordonnier, j’ai une forme spéciale pour les chaussures – tu vas t’acheter des chaussures de moi, pour t’en souvenir. » Ceci me rappelle une situation que j’ai vécu à Yambol : j’étais chez un cordonnier, qui me disait qu’il écoutait mes conversations et qu’il m’a beaucoup apprécié, donc il voulait me faire des chaussures pour que je me rappelle toujours de lui. Et c’est vrai, je m’en rappelle encore. Une fois que tu mets tes pieds dans les chaussures de la fraternité Noire, on va te faire des pointures spéciales, que tu ne pourras jamais oublier. Ils vont tout d’ abord détruire vos vertus. Si tu mets tes pieds dans cette forme, tu auras sans doute les vertus mutilées et si la Fraternité Blanche ne vient pas t’en libérer, tu souffriras beaucoup. Ne mettez pas vos pieds dans les chaussures de ces frères noirs. Maintenant je vous expliquerai tout, mais dans une autre conversation spéciale, je ne vous parlerai que de cette forme en question.
Et puis, vous les hommes et les femmes mariés, vous ne vivez pas comme il faut. Ceci est non conforme à la Fraternité Blanche. Si les mariés veulent vivre comme vit le monde, ils le peuvent, mais de l’extérieur, une fois entrés dans la Fraternité Blanche, ils respecteront des règles précises. Vous ne savez pas encore comment vivre. Vous pouvez encore apprendre ces règles – hommes et femmes doivent vivre d’ après la loi de l’Amour ! Tout travail accompli par la loi de l’Amour est sacré, or sans Amour c’est un crime. Si vous me demandez ce qui est droit de faire, je vais vous répondre ainsi: ce qui est fait par Amour. De l’Amour j’appelle ce sentiment, qui dépasse tous les autres sentiments. Lorsque tu le ressens, tu n’es jamais triste. L’Amour va être compris comme un Homme, mais pas celui, qui soit habillé en chair – c’est ainsi qu’on doit saisir l’Amour. Les hommes vont faire de même.
Je parle à vous, les mariés, que le Christ a marié, tandis qu’à ceux que le Christ n’a pas encore marié, je n’ai rien à dire. En vous appelant mariés, ceux que le Christ a marié, je comprends ceux, qui ont la conscience élargie, pour que le Christ puisse entrer et vous expliquer. Si vous ne comprenez pas ceci, vous allez prendre tout mot à mot et ensuite je me demanderai ce qui vous arrive. Paul dit à un endroit : « Hâtez-vous de rendre hommage les uns aux autres ! » Comment ? Pour se hâter, il vous faut transformer votre conscience. Il faut trouver quelqu’ un de qui apprendre. Si ce n’a pas la mère pour nous instruire, d’ où viendra ce savoir ? Cette loi est juste – la conscience s’agrandit par la conscience elle-même. Si votre conscience n’entre pas en contact avec une autre, elle ne peut pas grandir; si un esprit ne soit pas en relation avec l’esprit Divin, il ne peut pas non plus grandir.
Dans la Fraternité, je remarque une grande disharmonie. Je patiente pour ces choses, mais soyez surs que cette disharmonie ne m’est pas agréable. Vous pouvez maintenant vous mettre à pleurer, mais moi, je ne veux pas de vos lamentations. Pour moi, le jour le plus heureux sera de voir que le Christ vit dans votre conscience. Soyez surs que ce jour sera le plus heureux de ma vie ! Vous pouvez demander : « De quelle manière ? » Il y a deux façons : certains poissons on les pêche pendant la journée, d’autres – le soir. Il y a-t-il de différence ? Le Christ a imposé cette loi – aimez-vous pendant la journée ! Il vient le soir, lorsque personne ne peut travailler. Par conséquent, pour élargir votre conscience, vous devez travailler pendant la journée, et non pas jouer des rôles d’acteur. J’ai décidé pour vous de travailler en faisant des essais dans l’ Ecole. Nous commencerons par les plus petits et progressivement ils vont se succéder. Mais pour cela, il faut élargir votre conscience, il faut effectuer ce changement intérieur. Alors viendront ces rayons de conscience spirituelle, pour créer les conditions pour les graines, mises en vous depuis des milliers d’années et d’avoir de bons résultats. Les pensées, que vous avez maintenant donnent-elles de bons résultats ? Vous êtes tous mécontents, car vous manquez du fondamental – votre conscience n’est pas encore élargie et le Christ n’est pas entré pour vous expliquer. Il fait des efforts, mais ce sont des états provisoires ou il y a des hauts et des bas. Vous faites des efforts, mais ils seront vains si Christ ne pénètre pas dans votre conscience et si après lui, ne pénètre pas non plus l’ Amour Divin. On ne peut aboutir aux résultats facilement. Ne croyez pas que la transformation d’une vie en une autre est chose facile. Pour la transformation d’une plante dans une forme animale, il faut avoir de l’art et des connaissances ! Vous pourriez sérieusement y réfléchir, or maintenant vous le concéderez comme chose facile. Non, ça ne se passe facilement. L’ Esprit Divin, qui travaille en vous, va tout faire et non pas mes paroles. Il faut que le Christ pénètre, alors viendra la Résurrection qui comprend la Nouvelle vie dans de nouvelles formes. « Vous allez sortir des tombes. » Mais si vous êtes comme maintenant, à manger et à boire, ne croyez pas, que cela va continuer. Non, il ne restera rien de cette forme présente ! Ils resteront certains principes pour vous rappeler, mais nous allons nous transformer totalement. Certain dira : « Les conditions présentes dans ma vie empêchent mon développement. » Non, elles ne peuvent pas vous empêcher de continuer.
Je parle de cet élève, qui a pris une décision. Or, vous n’êtes pas encore des élèves. Il a plusieurs catégories : des élèves-catéchumènes, des élèves-croyants, des élèves-élèves. La première catégorie a des responsabilités et des droits tracés, la deuxième – aussi, la troisième est la plus élevée de toutes. Ce que l’élève fait, le catéchumène n’est pas obligé de le faire et le contraire. Et chacun doit observer la Vie d’ après le degré de son développement. S’il est appelé, il a des responsabilités et des droits tracés et vous n’avez pas le droit de lui demander pourquoi il les suit. Si le catéchumène demande au croyant : « Pourquoi tu vis de cette façon ? », le dernier lui dira : « Quand tu seras à ma place, tu comprendras pourquoi je travaille et je vis de cette façon. » Dieu n’est pas obligé de nous dire pourquoi il fait ceci ou cela. Il dira : « Lorsque tu passeras par sept feux, pour que je te purifie, tu comprendras. » Il ne te donnera aucune autre explication. Job a également questionné le Seigneur, mais Il n’a fait que se taire. Lorsque Job est passé par les sept feux, alors le Seigneur lui a parlé et lui a dit : « Dis-moi ! » Et Job dit : « J’ai entendu d’autres me parler de Toi, et j’ai commis beaucoup de péchés, mais en te voyant maintenant, je ne dirai pas de bêtises. » Certain de vous se trouve dans la situation de Job et demande : « Seigneur, jusqu’ à quand dois-je subir ces souffrances, ces dettes!? Dieu se tait. Ne croyez pas, que si vous avez un ami ou un ennemi, vous pourrez vous sauver, vous vous trompez ! La libération est dans la chose suivante: d’ouvrir votre conscience et de faire entrer le Christ pour vous expliquer ce fait. Si cela se passe, vous serez sauvés; sinon ce fait restera comme un démon toujours chez vous et il vous causera des bêtises.
Maintenant arrivent chez moi certains d’entre vous et me demandent certaines choses. Aujourd’ hui, il est venu un homme et il m’a demandé :
Sais-tu ce que font tes élèves, pourquoi tu ne les préviens pas ?
Je lui ai répondu :
Je ne peux pas, nous vivons d’ après la loi de la liberté.
Sans discipline ?
Sans discipline.
Mais vous devez exiger de la discipline.
Ensuite il m’a invité chez lui. Alors je lui ai dit :
Je ne viendrai pas dans ta maison.
Pourquoi ?
Pour que je vienne chez toi, tu dois enrichir ta conscience et que le Christ y pénètre, c’est-à-dire l’Amour. Toi, tu es comme mes élèves, tu veux m’attraper dans ton piège, vous êtes les mêmes. Eux et toi, vous n’êtes pas des élèves du Christ.
Moi, je dis : nous avons une grande loi, nous voulons vivre et comprendre la Vie d’une autre manière et nous voulons la refaire. Vous pouvez dire : Savez-vous ce que fait notre Maître ? » Or, êtes-vous responsable de mes actes ? Une autre fois, vous dites : « Ca lui va des chaussures jaunes ou un chapeau blanc ? Le manteau blanc est pour les enfants, il doit porter une veste noire. » Mais qu’ est-ce que cela vous intéresse ? Ce qui importe pour vous, c’est mon esprit, quel soit mon cœur et ma volonté, or vous vous occupez de choses tellement insignifiantes. Vous pouvez porter les habits et les chaussures que vous voulez, mais moi, ce qui m’interesse c’est votre esprit, votre conscience, votre cœur et votre volonté, et encore plus – votre âme et la présence du Christ en elle. Je sais que ces choses doivent se développer, pour que votre Vie ait le sens, qu’elle doit avoir. Et alors nous allons nous entendre ! Parfois c’est de la bénédiction pour l’homme d’être dans le monde un père, une autre fois d’être enfant; parfois c’est de la bénédiction d’être maître, une autre fois – d’être élève. Il viendra le jour ou vous allez comprendre les relations entre le Maître et l’élève, Dieu vous les expliquera. Et moi, je voudrais que vous soyez de ces élèves bénis !
Réplique : Amen, amen !
Certains d’entre vous cherchent le salut, ils veulent voir le Soleil Divin s’ouvrir pour y entrer. Il n’ y pas de telle issue. Le sauvetage se cache dans l’ouverture de votre conscience, ou peut entrer le Christ. Alors vous allez être sauvés. Alors toutes les conditions extérieures, qui à présent vous accablent – la pauvreté et autres, tout cela sera en harmonie et la Vie aura une toute autre vue. Maintenant dans votre esprit il reste l’idée suivante : « Si on n’arrive pas à finir le travail aujourd’hui, on finira demain. » Non, il faut travailler !
Si par exemple vous êtes le maître et moi je suis l’ouvrier – vous m’engagez à récolter votre vigne, or pendant toutes la journée je ne fais que compter les bûches et le soir je vous dis combien elles sont. Au deuxième jour, je vais encore à la vigne, mais je ne bine pas la vigne, je compte les bûches et je calcule combien sera le raisin qu’elle donnera. Au troisième jour, je compte les brins d’herbe, etc. A la fin, je dis à mon maître, que le travail est fait. Vous croyez que la vigne est binée et vous me payez, mais lorsque vous allez voir la vigne, qu’allez-vous penser en la voyant ? Pardonnez-moi, mais à présent vous travaillez de la même façon sur le champ de Dieu – vous comptez les bûches et les brins d’herbe, vous ne binez pas la vigne. Je n’ai rien à vous reprocher de compter les bûches et les brins d’herbe, toutefois vous devez aussi biner la vigne. La première façon de travailler n’est qu’un rôle d’acteur, tandis que la deuxième façon demande de biner tout d’ abord la vigne, ensuite vous pouvez toujours compter les herbes. Or, vous venez me dire : « Notre vigne ne pousse pas. » Oui, elle ne pousse pas, car mes élèves n’ont pas biné la vigne. Je résous le problème de la façon suivante: vous avez une statistique – vous avez compté les bûches et les brins d’herbe, tandis que moi, je prendrai la pioche et je vais biner la vigne. Or, si vous l’avez déjà binée, c’est moi, qui vais compter les bûches. Il y a également des maîtres qui ne font que compter les bûches et les plantes de vigne. Si vous binez la vigne, tout sera égalisé. Ce sont des méthodes, des symboles pour le travail dans l’avenir.
En vous disant tout ceci, c’est pour savoir comment élargir votre conscience, dans laquelle Christ n’a pas encore pénétrée. Le Christ travaille, il fait tous les efforts. Vous avez le grand désir, toutefois vous avez besoin de patience. On va vous mettre à l’épreuve en vous mettant sur la table d’opération. On ne donne pas d’anesthésie dans la Fraternité Blanche quand on te fait une opération, donc tu dois rester sans bouger, sinon le couteau va entrer encore plus en profondeur. A présent on fait de telles opérations à tout le monde. Ces opérations en vivant sont les meilleures, tandis que les opérations avec anesthésie sont les plus mauvaises. J’ai fait des opérations en vivant seulement dans certains cas et ce n’est que l’élève croyant, qui peut les subir. Si vous avez la conscience que cela se passe d’ après la loi de l’Amour, vous allez être prêt à tenir bon, dans le cas contraire il y aura des coups de pied, le couteau va s’enfoncer encore plus en profondeur, l’opération sera sans succès et ces gens restent petits de coté spirituel.
Je n’irai pas plus loin, pour ne pas déconcentrer votre conscience et pour ne pas croire, qu’il n’ y a rien de bon en vous. L’essentiel n’est pas encore venu. Ce champ n’a pas encore mûri, vous n’avez pas encore rempli la grange avec du blé. Quand la grange sera pleine, la nouvelle direction de la Vie viendra.
Avec cette conversation, je veux vous partager le travail. Et je veux donner du travail comme ouvriers à tous les mariés. Je donne encore le plus petit essai : vous allez travailler cinq minutes pour moi, pour Christ et pour l’Amour. Vous pourriez faire des merveilles pour cinq minutes. Je ne demande pas une heure, mais cinq minutes. Il y a-t-il quelqu’ un, qui ne soit pas d’ accord? Si quelqu’ un abuse de ces cinq minutes, il ne peut être nommé élève – s’il ne travaille pas cinq minutes pour Christ, son travail est fichu. Pas de débats, pas de philosophie, mais droit au travail! Tu vas oublier ta femme, tes enfants et tout pendant ces cinq minutes ! Tu vas travailler pour Christ en toute conscience, après tu peux philosopher et tu demanderas est-ce fini avec ce problème. Remarquez: cinq minutes! Cent jours par cinq minutes combien ça fait? Cet essai vous allez continuer de le faire pendant dix années. Un si petit essai, mais pour un an ça fait 30 heures et 25 minutes, pour dix ans – 304 heures ou bien 25 jours et 4 heures. Pour ces dix ans, vous allez consacrer en tant qu’ouvriers vingt-cinq jours pour Christ d’ après la loi de l’Amour. Chaque jour par cinq minutes ! Il n’existe pas d’autre philosophie pour le moyen d’ y arriver. Je n’expliquerai à personne. Depuis maintenant je vous donne deux semaines, pour réfléchir sur les cinq minutes ou sur les vingt-cinq jours pour Christ dans un délai de dix ans. Celui d’entre vous qui soit prêt de travailler, qu’il se mette au travail. Lorsque tu plonges dans ces cinq minutes, tu vas oublier que tu sois marié, que tu sois fonctionnaire ou autre chose, tu vas te ressentir comme un nouveau-né dans le Royaume de Dieu, pour faire la volonté Divine. Alors vous aurez compris mes paroles depuis le premier jour ou vous travaillerez pour Christ.
Le deuxième essai est le suivant: je vais choisir un jour pendant lequel pour cinq minutes vous allez travailler pour Christ. Je vous le dirai et alors je ferai venir tous les ours sur votre chemin – sachez-le bien. Et si vous marchez avec courage, ils vont vous faire chemin et ils vont dire : « On peut travailler cinq minutes pour Christ » - même les ours comprennent cette loi. Moi aussi je marcherai devant. Soyez à l’attente de l’essai le plus important – cinq minutes pour Christ. Et nettoyez bien vos maisons ! Celui qui ne le fait pas…
C’est ce qu’on m’a dit de vous dire, vous comprenez? Et si vous êtes fidèles, alors vous connaîtrez la Vérité et la Vérité va vous connaître.
Je laisse la question sans solution, car les autres attendant dehors. Mariés, maintenant on veut vous marier ! C’est ça !... Puisque ce n’est pas fini, on va mettre des points de suspension.
Vous allez pensez deux semaines par cinq minutes. Vous allez donner de la liberté à votre esprit, à votre coeur et à votre volonté. Je veux que vous soyez déjà libres dans vos pensées. L’essai viendra, c’est le commencement. Ces choses sont microscopiques, mais en y travaillant, elles vont en venir de plus grandes. On va commencer par les petites choses pour enfants. Et quand les enfants s’amusent, Dieu s’en réjouit. Par conséquent, on fera du plaisir à Dieu en nous voyant travailler en pleine conscience pour Lui sans contrainte.
La Bonne prière.
Si les jeunes s’intéressent à ce que je vous ai parlé, vous pouvez le leur dire dans deux semaines. Vous pouvez partager mes paroles aux jeunes dans deux semaines.
le 2 juin 1922, Veliko Tarnovo (devant des frères et des sœurs mariés)
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